19.11.11

L'art français moderne


Delacroix: Marianne (La liberté guidant le peuple, détail), 1830
Musée du Louvre, Paris

Art, Liberté et Modernité. L’art moderne doit beaucoup à la France dans la mesure où c’est dans ce pays qu’il est apparu et s’est développé. Sous la devise française « Liberté, Égalité, Fraternité », beaucoup d’artistes ont pu s’exprimer avec originalité. À Paris, des artistes locaux et d’autres d’origines diverses travaillent ensemble et créent un art libre, au point où le vocable d’art moderne est presque devenu synonyme d’art français.

L’expression française raison d’être signifie autant une raison pour laquelle vivre qu’une raison pour laquelle exister. Mais dans l’art cohabitent tant de raisons. Aussi le cycle de conférences de Mariano Akerman parle-t-il des Raisons d’être, au pluriel.

Claude Monet, Impression, soleil levant, 1872

Mariano Akerman, Peintre et Historien d’Art. Né à Buenos Aires, en Argentine, en 1963, Mariano Akerman a étudié à l’École d’Architecture de l’Universidad de Belgrano et y a validé sa formation en 1987 avec un projet sur les limites et l’espace en architecture moderne. À l’étranger, depuis 1991, il a orienté ses recherches sur l’oeuvre du peintre Francis Bacon et sur celle de l’architecte Louis I. Kahn. Par ailleurs, Mariano Akerman a présenté une série de conférences éducatives l’une sur l’oeuvre du naturaliste suédois Carl Linné (Philippines, 2007) et deux autres intitulées À la découverte de l’art belge et Raisons d’être (Pakistan 2008-10). Spécialiste en communication visuelle, Akerman est un éducateur expérimenté s’intéressant particulièrement à l’art moderne au sujet duquel il a donné des conférences dans des institutions renommées telles que le Museo Nacional de Bellas Artes à Buenos Aires et le National Museum of the Philippines à Manille. Également peintre, Mariano Akerman expose ses peintures et collages depuis 1979. Il a reçu plus de douze prix et distinctions internationales.


Art, Freedom and Modernity. Modern art owes much to France, for it was born and developed there. In the country of "Liberty, Equality, and Fraternity" many artists expressed themselves with unusual inventiveness: local and foreign artists worked together to create original, modern art.

Because of their success, modern art has become some kind of synonym with French art today.

The French expression raison d’être refers to a "reason for being" or to a "reason for existing." Yet, in art there are many of them. Along the art-education lectures, Mariano Akerman also speaks of Raisons d’être, in plural.

Georges Lacombe, Marine bleue, Effet de vagues, 1893
Musée des Beaux-Arts de Rennes

Mariano Akerman, Painter and Art Historian. Born in Buenos Aires in 1963, Mariano Akerman studied at the School of Architecture of Universidad de Belgrano (Argentina), completing his formation with a prized graduation project on the limits and space in modern architecture (1987). Abroad from 1991 onwards, he studied modern art and researched the paintings of Francis Bacon and the architectural projects of Louis I. Kahn. He has developed the series of educational lectures In the Spirit of Linnaeus (Philippines, 2007), Discovering Belgian Art and Raisons d’être (Pakistan, 2008-10). Specializing in visual communication, Akerman is an experienced educator. He lectures on modern art at renowned institutions such as the Museo Nacional de Bellas Artes in Buenos Aires and the National Museum of the Philippines in Manila. An artist himself, Akerman exhibits his paintings and collages since 1979 onwards. He has been awarded with more than twelve major international prizes.

Henri Matisse, Portrait de Madame Matisse, dit "La Raie verte", 1905

Letter of Appreciation. Dear Mariano Akerman, On behalf of Alliance Française d'Islamabad, I would like to thank you for your generous contribution for the promotion of French culture.
Your lecture was not only a very fruitful contribution for our cultural activities, but also was very informative and knowledgeable about Modern French Art.
Thank You. Dr. Muhammad Azam Chaudhary, AFI President

Alliance Française d'Islamabad
Cultural Activities: Lecture French Modern Art
www.afislamabad.org/?cultural

9.11.11

Histoire visuelle de la Gestalt

par Mariano Akerman

"Entre la totalité et les parts"

Oeil

Filigrane ancienne

Manuel

Group et Individu

Encyclopédie

Projection

TV

Les couleurs primaires

Puzzle

Transmission

Impressions

Filigrane nouvelle

Op art

Interconnectivité

L'art aujourd'hui


+
Un verre ou deux profils?
PhotoFunia
+
Configurations inspirées par les lois de l'organisation perceptive
+ +

6.11.11

Rencontre avec Mariano Akerman à l'Alliance Française


Gestalt : Cycle de conférences, Pakistan, Islamabad et Rawalpindi, 2011

ISLAMABAD. "Le programme de la Gestalt a très bien réussi et la conférence présentée par M. Mariano Akerman a eu un impact très positif sur les élèves de l'Alliance Française. Les étudiants étaient très enthousiastes. Ils ont été impressionnés par la conférence et la conférence les a captivés. Elle a retenu leur attention du début jusqu'à la fin. Le temps semblait passer très vite. M. Mariano a ce charme et la qualité d'hypnotiser le public. La conférence n’était pas juste un discours en monologue. M. Mariano a fait participer tout le monde et c’était la beauté de cette conférence." Mme Farah Sheikh


"Si ce sont les plumes qui font le plumage, ce n'est pas la colle qui fait le collage." —Max Ernst

"Collage et intégration : la théorie de la Gestalt et les arts visuels modernes"
Alliance Française d'Islamabad, 27.10.2011


La psychologie de la forme ou gestaltisme (de l'allemand, Gestaltpsychologie) est une théorie psychologique, philosophique et biologique, selon laquelle les processus de la perception et de la représentation mentale traitent spontanément les phénomènes comme des ensembles structurés (les formes) et non comme une simple addition ou juxtaposition d'éléments (S).

Mariano Akerman : Programme Gestalt

Références
The Gestalt Program ; Programa Educativo Gestalt
Islamabad, German Embassy in Islamabad, Integrated Whole, Experimentation and Identity, Gestalt: Theory and Design in the New Objectivity Age, 25.10.2011
Akerman à la Résidence Suisse, Islamabad
Islamabad, Deutsche Auslandsvertretungen in Pakistan, Integriertes Ganzes, Experimentieren und Identität, Gestalt: Theorie und Gestaltung im Zeitalter der neuen Sachlichkeit, 28.10.2011
Sara Mahmood, Mariano Akerman: Bridging Cultures, 28.9.2011
Ishrat Hyatt, Gestalt Programme Launching Event, International The News, 22.10.2011, City News, p. 19 (S).
"The Ambassador of Switzerland ... held Reception Lecture of the Gestalt Educational Program held by Architect Mariano Akerman," Diplomatic Focus, Pakistan, Vol. II, Issue 8-9, October-November 2011, p. 70, photographies par Shabbir Hussain.
Almas Haider Naqvi, "Other is the Same Side of the Picture," Dataline Islamabad, 22.10.2011, p. 4.
Maqbool Malik, "Tradition meets Modernisation," The Nation, Pakistan, 24.10.2011.
SwissPak Association
Gauhar Zahid Malik, Theory and Design in the Age of New Objectivity, Pakistan Observer Online, 3.11.2011.

25.8.11

Images du Pakistan : Lahore

Photos par Mariano Akerman

Lahore est une ville du Pakistan située sur la rivière Ravi, affluent de l'Indus. Capitale de la province du Penjab, elle est un grand centre universitaire et culturel. Elle compte plus de 7 millions d'habitants, faisant d'elle la deuxième ville du Pakistan, après Karachi.

La mosquée Badshahi (mosquée Royale) (Pânjabî, Ourdou: بادشاھی مسجد), ou bien encore surnommé La mosquée de l'Empereur

Lahore est célèbre pour les jardins de Shalimar et de Shahdara, parmi les plus beaux du monde. La vieille ville, héritage de l'Empire moghol, contient notamment les mosquées Dorée et Badshahi et le Fort royal.

Samadhi Ranjit Singh

Ganesha

National College of Arts

20.8.11

Chefs d'oeuvre de l'art belge

Frères Limbourg, "Janvier", Les Très Riches Heures du duc de Berry, c. 1413-16
Musée Condé, Chantilly
Jan van Eyck, "Adam", Retable de l'Agneau Mystique, 1432
Cathédrale Saint-Bavon, Gand
Pierre Paul Rubens, Saturne dévorant l'un de ses enfants, 1636
Musée du Prado, Madrid
Émile Claus, La fille aux canards, c. 1883
James Ensor, Squelettes voulant se chauffer, 1889
René Magritte, La saveur des larmes, 1948. Huile, 60 x 50 cm.
Jean-Michel Folon, Oui à la pensée, aquarelle

Liens
Frères Limbourg : Les Très Riches Heures du duc de Berry
Jan van Eyck : Peintures
Pierre Paul Rubens : Peintures et dessins
Émile Claus : Images
James Ensor : Museum
René Magritte : Galeries ABC + CGFA
Jean-Michel Folon : Atelier Folon


F.C. Garcia, Istilo ng sining Belgium, The Varsitarian, University of Santo Tomas, Manille, Vol. LXXXIII, No. 3, 6 Août 2005, p. 13. Ref. Mariano Akerman, Conférence sur l'art belge, UST, Manille, Philippines, 2005

13.8.11

Expressions : têtes de caractère


Franz Xaver Messerschmidt est un sculpteur germano-autrichien né le 6 février 1736 à Wiesensteig (Bavière) et mort le 19 août 1783. Professeur-adjoint à l’Académie royale de Vienne, il fut le portraitiste des familles régnantes, des cercles aristocratiques et intellectuels vivant dans la capitale autrichienne et en Bavière. Il est principalement connu pour sa série ; les 69 « têtes de caractère ».


La série de « têtes de caractères », en métal (alliage d’étain et de plomb) et en albâtre, est récupérée après le décès de Messerschmidt en 1783 par le frère de l'artiste. Celui-ci se sépare de plusieurs œuvres et vend à un cuisinier un ensemble de quarante-neuf têtes. Elles sont montrées à Vienne en 1793 pour une exposition publique. La série, acquises par un certain Joseph Jüttner est à nouveau exposées à Vienne en 1835. Un article leur est consacré dans le journal Der Adler (numéro 286 du 30 novembre 1839), avec une lithographie les illustrant toutes.
Avec ces têtes sculptées d'une émotivité exacerbée, au sourire grimaçant, Messerschmidt rompt avec le néoclassicisme. Les rares écrits du sculpteur consacré à ses têtes, ne les qualifient pas : il s'agit pour lui de Kopfstücke (« têtes »). L’appellation « têtes de caractères » (Charakterköpfe) été donné par l'auteur anonyme du livret de la première exposition publique de l'artiste, en 1793, soit dix ans après sa mort. C'est ce même auteur qui inventa en 1793 les titres des oeuvres : L’Homme qui pleure comme un enfant, L’Homme souffrant de constipation, ou encore Le Bassoniste incapable … Ceux ci n'ont été conservé que par commodité, ils sont utilisés dans la bibliographie consacré au sculpteur.

















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